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« La terre entre nos mains, pour un nouveau demain », une expérience artistique pour un groupe de jeunes suivis par la Protection judiciaire de la jeunesse du Grand Est

Partenaire de l’Institut du monde arabe depuis plus de 20 ans, la Fondation TotalEnergies est fière et heureuse d’apporter son soutien aux initiatives éducatives, sociales et culturelles de l’IMA, visant à encourager la créativité et à renforcer l’estime de soi. Et tout particulièrement dans cette initiative qui associe pratique artistique et inclusion sociale de jeunes suivis par la Protection judiciaire de la jeunesse du Grand Est (Aube / Haute-Marne).

Publié le 13/05/2025
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Pendant près de cinq mois, quinze filles et garçons de 14 à 20 ans ont participé au projet, et se sont pleinement engagés, chaque semaine, dans cette aventure artistique au long cours.

Au fil des séances avec l’artiste-céramiste Noémie Niddam Hosoi, ils ont façonné avec attachement, fierté et détermination les œuvres qui sont actuellement exposées à l’Institut du monde arabe. À travers leurs gestes, leurs idées, leurs émotions, ils ont donné vie à cette vision : « La terre entre nos mains pour un nouveau demain ».

Chacune et chacun a imaginé et créé son propre bol et sa main en argile, symboles de protection et de partage. Au-delà de la découverte d’une technique artistique, ce projet a permis à ces jeunes un espace d'expression, de (re)découverte de soi et une expérience de liberté créative.

Un grand bravo à tous les jeunes qui ont participé à cet ambitieux projet. Bravo pour leur engagement et pour leur assiduité. Un grand merci également à toutes les personnes qui ont participé à sa réalisation, les équipes de la Protection judiciaire de la jeunesse – Grand Est (Aube / Haute-Marne), de l'Institut du monde arabe ainsi qu'à l'artiste Noémie Niddam Hosoi.

« Ce cheminement humain, à travers l’art, est bien plus qu’un simple sujet pédagogique. C’est un véritable tremplin, une occasion unique pour ces jeunes de découvrir la richesse de la culture, de se connecter à des valeurs universelles et de s’exprimer librement. L’art, en tant que vecteur de transformation, doit être un droit pour tous, sans exception. »

Philippe Castro, Directeur de cabinet de la présidence de l’Institut du monde arabe.

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