L’observatoire astronomique de Château-Chinon (Nièvre – Bourgogne-Franche-Comté)

Ce projet vise à redonner vie à un ancien poste météorologique et à une ancienne usine de traitement des eaux afin créer un centre d'observation unique, au cœur d’un site naturel préservé sur la colline du Calvaire et à destination de chercheurs, astronomes, scolaires et visiteurs. Ce projet permettra la création d’une réserve de ciel étoilé*, mêlant préservation de la biodiversité et développement d’un tourisme vert et éducatif. Le chantier prévoit environ 790 heures d’insertion en lien avec l’association nivernaise La Fabrique Emploi et Territoires.

*Espace de vaste étendue, jouissant d'un ciel étoilé d'une grande pureté 

Les anciennes mines de Pont-Péan (Ille-et-Vilaine – Bretagne)

À l’issue de sa réhabilitation, ce site de ces anciennes mines deviendra un pôle socio-culturel dédié aux associations locales. Ce projet répond ainsi à un double objectif de valorisation patrimoniale et de développement des services porté par la commune. Le chantier intègre 350 heures d’insertion professionnelle et s’accompagne d’une démarche environnementale.

La Médiathèque 507 de Montigny-lès-Metz (Moselle – Grand Est)

Ce projet prend place dans une ancienne caserne au sein du nouvel écoquartier Lizé. Il mêle valorisation patrimoniale, développement de services culturels et démarche éco-responsable. Les travaux (gros œuvre, rénovation de la façade et de la charpente) incluent 510 heures d'insertion professionnelle. Une opportunité pour soutenir l’emploi local tout en respectant les exigences environnementales de l’éco-quartier.

L’Écomusée textile du Parc de Wesserling (Haut-Rhin – Grand Est)

Cet écomusée se situe sur le site de la Manufacture Royale de textile, datant de 1786. Son parcours retrace l’histoire industrielle de la région tout en sensibilisant la jeunesse aux enjeux contemporains de l'industrie textile. Les travaux prévoient la rénovation du cheminement technique, des garde-corps de la chaufferie et de l’ancien garage à calèche, transformé en logements pour saisonniers de la guinguette, gérée par une association d’insertion. Des aménagements sont également prévus au niveau de la ferme. Orchestrés par des associations d’insertion, ces chantiers mobiliseront 29 personnes, dont 11 jeunes, pour environ 400 heures d’insertion.

Château de Franquières, à Biviers (Isère – Auvergne-Rhône-Alpes)

Le Château de Franquières, édifié au XVII^e siècle, accueille depuis 1959 l’Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique Marius Boulogne. L’établissement accompagne des adolescents souffrant de troubles du comportement et de la personnalité en leur proposant un cadre éducatif et thérapeutique propice à leur réinsertion scolaire et sociale. Le chantier intégrera 1 900 heures d’insertion réalisées par 10 apprentis issus de CFA (Centres de Formation des apprentis) et par les Compagnons du Devoir pour les travaux de charpenterie, de couverture et de maçonnerie.

L’ancienne chapelle de La Persagotière, à Nantes (Loire-Atlantique – Pays-de-la-Loire)

Cette ancienne chapelle, construite en 1902 et désaffectée depuis 2005, se situe au sein de l’Institut Ocens, un établissement médico-social qui accueille des enfants et adolescents souffrant de troubles du développement. Sa réhabilitation permettra d’y accueillir des activités culturelles à destination des jeunes patients. Le chantier intégrera 1 380 heures d’insertion professionnelle, mobilisant 20 apprentis parmi plusieurs corps de métier.

L’usine Étoile, à Fontenay-le-Comte (Vendée – Pays-de-la-Loire)

Cette ancienne usine, conçue par l'artiste Georges Mathieu en 1967, accueille aujourd’hui des activités créatives et numériques. Elle fait l’objet d’une dernière tranche de travaux de restauration (étanchéité du bassin et clôture). Le chantier comprendra 340 heures d’insertion pour 9 personnes en situation de handicap, ainsi que la participation de 24 jeunes séjournant dans un institut médico-éducatif.

L’ancien château d’eau de Bacouel-sur-Selle (Somme – Hauts-de-France)

Cet ancien château d’eau, construit au milieu du XIX^e siècle par la Compagnie des chemins de fer du Nord, est un témoin de l’activité ferroviaire qui reliait Amiens et Rouen. Il permettait en effet d’alimenter les locomotives à vapeur. Sa restauration est assurée par l’association Les Ateliers du Val de Selle avec le concours de l’ESAT de Conty et implique également 7 personnes en insertion professionnelle.