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Conservatoire du Littoral

En 3 questions, Anne Konitz, Directrice de la communication, nous parle de l’engagement commun en faveur de la jeunesse que partagent le Conservatoire du Littoral et la Fondation TotalEnergies.

La parole aux partenaires : Conservatoire du Littoral

La parole aux partenaires : Conservatoire du Littoral

Anne Konitz – Directrice de la communication – Conservatoire du littoral

C’est très important pour le Conservatoire de travailler avec des entreprises de la société civile et des entreprises qui sont engagées dans la question énergétique.

Votre engagement pour la jeunesse ?

Ça ne fait pas partie forcément, véritablement de notre feuille de route qui est l’acquisition des espaces naturels pour leur préservation. Mais à partir du moment, d’abord où c’est au bénéfice de tous évidemment ça comprend la jeunesse, et puis parce que le monde change aujourd’hui, on s’en rend compte les questions climatiques sont importantes. Je pense qu’on est des générations avec des visions assez fixistes de ce qu’est notre environnement. Et au contraire, pour résoudre un certain nombre de problèmes, il va falloir apprendre avoir une vision très mobile. Et c’est un peu ce travail que l’on fait avec des jeunes, des écoles, etc. pour réfléchir à cette vision mobile de l’environnement.  

Votre projet avec la Fondation TotalEnergies ?

On a travaillé essentiellement sur ce programme européen dans lequel on est engagé, qui s’appelle le programme Adapto. La Fondation nous a aidé sur tout l’aspect pédagogique. Elle a financé notamment tout un travail d’accompagnement de classes du littoral surtout, venues pendant toute l’année travailler sur l’estuaire de l’Orne, sur cette question d’adaptation au changement climatique, sur un endroit en particulier.

Le « faire alliance » en quelques mots ?

C’est des gens très impliqués dans les questions environnementales, par la nature même de leurs travaux. Donc en fait c’est un dialogue facile, on se comprend. Je trouve que c’est très important pour le Conservatoire de travailler avec des entreprises de la société civile et des entreprises qui sont engagées dans la question énergétique, parce que ça nous oblige quelque part à sortir un peu de notre vision écolo, on va dire des choses.